Bien que certaines grandes enseignes fassent du merchandising sensoriel depuis plusieurs années, la fuite de la clientèle vers le e-commerce, a incité les grandes enseignes à pratiquer le merchandising sensoriel. L'objectif ? Donner aux lieux de vente une atmosphère incitative à l'achat, en usant et abusant des faiblesses sensorielles du système de décision du cerveau. Pour ce faire, ce sont désormais sur les cinq sens que les commerçants se font concurrence. Certains, diffusent des senteurs, d'autres des bruitages apaisants, ou encore mettent en scène leur magasin à travers des jeux de lumière scrupuleusement réfléchis pour incité l'acte d'achat. La notoriété qu'une enseigne tire du merchandising sensoriel est évidente, cependant la question du retour sur investissement reste hypothétique. En effet, la stimulation des sens sur un lieu de vente nécessite un investissement qui peut être lourd, et qui se doit d’être rentabilisé.
Bien que tous s'accordent à dire que les retombées ne peuvent être que positives en terme de vente, rien n'a encore été prouvé à ce jour. Le concept du marketing ayant toujours été basé sur la mise en condition des produits ou services, et ce, dans le but d'optimiser les ventes, le merchandising sensoriel n'est en rien différent. Cependant s'il y a une différence, elle se trouve dans l'importance accordée à la stimulation de tous les sens sur un lieu de vente. En effet, même s'il n'a pas encore été prouvé qu'il existe un lien fort, entre le merchandising sensoriel et l'augmentation des ventes, de plus en plus de commerçants sont convaincus que l'investissement en vaut la peine. En effet, le merchandising sensoriel permettrait une augmentation des ventes, comprise entre 10 et 15 %. À titre d’exemple, un grand patron de casino commandait une senteur de vacances à l’entrée de ses enseignes, et une senteur d’argent dans les salles de jeu. Résultat, les joueurs passent depuis, 15 à 20 minutes de plus à jouer.
Les sens pour une expérience consommateur unique
Les adeptes du merchandising sensoriel affirment même que c'est le rapport commercial en lui-même qui change, car les magasins ne proposent pas que des produits, mais aussi une véritable expérience de découverte qui allie plaisir et utilité. En effet, il ne s’agit plus d’exposer, mais de faire ressentir une émotion aux clients. Et pour ce faire, il faut que ces derniers restent le plus longtemps possible sur les lieux. Une fois imprégnés de l’atmosphère, les clients seront plus enclins à céder à leurs pulsions, qui déclencheront l’acte d’achat. Ainsi, l’exploitation des sens se fait de plus en plus fréquente et touche tous les secteurs, aussi bien l’agroalimentaire, que le prêt-à-porter ou encore le secteur automobile. Le constructeur Renault a d’ailleurs compris depuis longtemps l’intérêt de travailler sur la senteur de ses véhicules, les bruits du clip ceinture ou le tic tac des clignotants. Mais, là aussi, la rentabilité et les chiffres restent au secret.
Bien que tous s'accordent à dire que les retombées ne peuvent être que positives en terme de vente, rien n'a encore été prouvé à ce jour. Le concept du marketing ayant toujours été basé sur la mise en condition des produits ou services, et ce, dans le but d'optimiser les ventes, le merchandising sensoriel n'est en rien différent. Cependant s'il y a une différence, elle se trouve dans l'importance accordée à la stimulation de tous les sens sur un lieu de vente. En effet, même s'il n'a pas encore été prouvé qu'il existe un lien fort, entre le merchandising sensoriel et l'augmentation des ventes, de plus en plus de commerçants sont convaincus que l'investissement en vaut la peine. En effet, le merchandising sensoriel permettrait une augmentation des ventes, comprise entre 10 et 15 %. À titre d’exemple, un grand patron de casino commandait une senteur de vacances à l’entrée de ses enseignes, et une senteur d’argent dans les salles de jeu. Résultat, les joueurs passent depuis, 15 à 20 minutes de plus à jouer.
Les sens pour une expérience consommateur unique
Les adeptes du merchandising sensoriel affirment même que c'est le rapport commercial en lui-même qui change, car les magasins ne proposent pas que des produits, mais aussi une véritable expérience de découverte qui allie plaisir et utilité. En effet, il ne s’agit plus d’exposer, mais de faire ressentir une émotion aux clients. Et pour ce faire, il faut que ces derniers restent le plus longtemps possible sur les lieux. Une fois imprégnés de l’atmosphère, les clients seront plus enclins à céder à leurs pulsions, qui déclencheront l’acte d’achat. Ainsi, l’exploitation des sens se fait de plus en plus fréquente et touche tous les secteurs, aussi bien l’agroalimentaire, que le prêt-à-porter ou encore le secteur automobile. Le constructeur Renault a d’ailleurs compris depuis longtemps l’intérêt de travailler sur la senteur de ses véhicules, les bruits du clip ceinture ou le tic tac des clignotants. Mais, là aussi, la rentabilité et les chiffres restent au secret.
