Avec un chiffre d’affaires de 23,4 millions d’euros, Parrot accuse une baisse brutale de ses ventes entre juillet et fin septembre : -40% par rapport au troisième trimestre de l’an dernier. C’est en particulier l’activité des drones grand public qui est la cause de cette mauvaise passe : celle-ci n’a en effet généré sur les trois mois de l’été que 12,5 millions d’euros de revenus, un chiffre en retrait de 45%. Parrot évoque une « pause » dans les ventes de drones sur ce marché, et retient que sur le segment des appareils de 500 à 800 euros, il gagne de 5 à 15 points de part de marché. De même, l’activité des drones sur les marchés professionnels est en progression de 4%, à 93 millions d’euros.
C’est une progression modeste mais dans le contexte actuel, toutes les bonnes nouvelles sont les bienvenues. Par ailleurs, les ventes de logiciels et de services sont satisfisfaisants avec une progression de 28% : Parrot salue les « solides performances » de son offre de solutions métiers. Le groupe s’attend également à voir les premiers fruits de ses efforts envers les clients du secteur de la défense et de la sécurité. Sur le marché professionnel, l’entreprise fait toutefois face à des difficultés d’ordre réglementaire : la législation n’avance pas au même rythme que la technologie.
La performance globale étant ce qu’elle est, Henri Seydoux le PDG de Parrot a annoncé qu’un plan de départ d’une centaine de personnes allait être mis en œuvre. Il concernera essentiellement les effectifs de commercialisation et de production à l’international. L’entreprise emploie 600 salariés ; l’an dernier, la société avait déjà procédé à une réduction de ses effectifs de 290 personnes dont 150 en France.
C’est une progression modeste mais dans le contexte actuel, toutes les bonnes nouvelles sont les bienvenues. Par ailleurs, les ventes de logiciels et de services sont satisfisfaisants avec une progression de 28% : Parrot salue les « solides performances » de son offre de solutions métiers. Le groupe s’attend également à voir les premiers fruits de ses efforts envers les clients du secteur de la défense et de la sécurité. Sur le marché professionnel, l’entreprise fait toutefois face à des difficultés d’ordre réglementaire : la législation n’avance pas au même rythme que la technologie.
La performance globale étant ce qu’elle est, Henri Seydoux le PDG de Parrot a annoncé qu’un plan de départ d’une centaine de personnes allait être mis en œuvre. Il concernera essentiellement les effectifs de commercialisation et de production à l’international. L’entreprise emploie 600 salariés ; l’an dernier, la société avait déjà procédé à une réduction de ses effectifs de 290 personnes dont 150 en France.
