Le parcours de Stanislas Pottier
Stanislas Pottier débute sa carrière dans le public en 1994, au ministère de l'Économie, des Finances et de l'Industrie. Il occupera par la suite le poste d'adjoint au chef de bureau Europe central, puis celui d'adjoint au chef de bureau des services et de la propriété intellectuelle, avant d’assurer les fonctions d’économiste à la banque mondiale en 1998. Deux ans plus tard, il revient au ministère de ses débuts où il sera successivement, chef de bureau des financements publics, celui de l'assurance-crédit, puis président de la commission des garanties. Des postes qui occuperont son emploi du temps pendant cinq années avant qu’il ne soit sollicité par Thierry Breton pour devenir son conseiller technique en 2005. La même année, Stanislas Pottier sera également directeur adjoint des cabinets de François Loos et de Christine Lagarde. Puis en 2006, ce dernier sera à la tête du cabinet de Christine Lagarde, et travaillera comme directeur adjoint dans celui de Thierry Breton. Ensuite, il rejoindra à nouveau Christine Lagarde lorsque celle-ci devient ministre de l'Économie, de l'Industrie et de l'Emploi, pour être le conseiller spécial de cette dernière, de 2007 à 2009. Stanislas Pottier occupera encore le même poste, mais cette fois, auprès de Michel Rocard, et dans le cadre de négociations internationales concernant l'antarctique et l'arctique.
Un défenseur de l’arctique et de l'antarctique
Stanislas Pottier n'a pas été choisi au hasard pour être l'ambassadeur des négociations sur l'arctique et l'antarctique. En effet, ce dernier est le cofondateur de l'ONG « Le cercle polaire », qui a pour objectif de promouvoir des actions visant à améliorer la gouvernance de ces régions, et de sensibiliser les populations aux problèmes du changement climatique qui y sont particulièrement visibles. Également photographe amateur, Stanislas Pottier a toujours été sensible à la beauté de l'arctique et de l'antarctique, et n'a pas manqué de s'y rendre à maintes reprises, notamment durant la période où il occupait le poste d'ambassadeur des négociations. Cet ancien élève de l'École Nationale d'Administration (ENA) a donc fait ses preuves dans le public, mais également comme protecteur de l'environnement. C’est donc sans hésiter que le Crédit Agricole lui a accordé sa confiance, en le nommant au poste de directeur du développement durable. Une première expérience dans le privé pour Stanislas Pottier, mais avec son expérience, ce dernier ne devrait pas avoir de mal à s'adapter. Le 26 septembre dernier Stanislas Pottier prenait ses nouvelles fonctions auprès de Joseph d’Auzay, secrétaire général au Crédit Agricole.
Stanislas Pottier débute sa carrière dans le public en 1994, au ministère de l'Économie, des Finances et de l'Industrie. Il occupera par la suite le poste d'adjoint au chef de bureau Europe central, puis celui d'adjoint au chef de bureau des services et de la propriété intellectuelle, avant d’assurer les fonctions d’économiste à la banque mondiale en 1998. Deux ans plus tard, il revient au ministère de ses débuts où il sera successivement, chef de bureau des financements publics, celui de l'assurance-crédit, puis président de la commission des garanties. Des postes qui occuperont son emploi du temps pendant cinq années avant qu’il ne soit sollicité par Thierry Breton pour devenir son conseiller technique en 2005. La même année, Stanislas Pottier sera également directeur adjoint des cabinets de François Loos et de Christine Lagarde. Puis en 2006, ce dernier sera à la tête du cabinet de Christine Lagarde, et travaillera comme directeur adjoint dans celui de Thierry Breton. Ensuite, il rejoindra à nouveau Christine Lagarde lorsque celle-ci devient ministre de l'Économie, de l'Industrie et de l'Emploi, pour être le conseiller spécial de cette dernière, de 2007 à 2009. Stanislas Pottier occupera encore le même poste, mais cette fois, auprès de Michel Rocard, et dans le cadre de négociations internationales concernant l'antarctique et l'arctique.
Un défenseur de l’arctique et de l'antarctique
Stanislas Pottier n'a pas été choisi au hasard pour être l'ambassadeur des négociations sur l'arctique et l'antarctique. En effet, ce dernier est le cofondateur de l'ONG « Le cercle polaire », qui a pour objectif de promouvoir des actions visant à améliorer la gouvernance de ces régions, et de sensibiliser les populations aux problèmes du changement climatique qui y sont particulièrement visibles. Également photographe amateur, Stanislas Pottier a toujours été sensible à la beauté de l'arctique et de l'antarctique, et n'a pas manqué de s'y rendre à maintes reprises, notamment durant la période où il occupait le poste d'ambassadeur des négociations. Cet ancien élève de l'École Nationale d'Administration (ENA) a donc fait ses preuves dans le public, mais également comme protecteur de l'environnement. C’est donc sans hésiter que le Crédit Agricole lui a accordé sa confiance, en le nommant au poste de directeur du développement durable. Une première expérience dans le privé pour Stanislas Pottier, mais avec son expérience, ce dernier ne devrait pas avoir de mal à s'adapter. Le 26 septembre dernier Stanislas Pottier prenait ses nouvelles fonctions auprès de Joseph d’Auzay, secrétaire général au Crédit Agricole.
