Immobilier : un marché en deux temps en 2024
L'année 2024 a été caractérisée par une évolution contrastée. Le premier semestre a poursuivi la tendance baissière amorcée en 2022, avec une chute notable des transactions. Toutefois, dès l’été, le marché a amorcé une reprise, portée par des volumes de vente en hausse au dernier trimestre. Ce regain d’activité, perceptible à l’échelle nationale, a permis de limiter la baisse globale annuelle.
Les professionnels du secteur, notamment le réseau Century 21 interrogé par MySweetImmo, attribuent ce redressement à plusieurs facteurs économiques favorables. Les baisses successives des taux d’intérêt, atteignant une moyenne de 3 à 3,5 %, ont permis de redonner du souffle au pouvoir d’achat des ménages.
Malgré un contexte économique et politique parfois instable, les Français continuent de privilégier l’investissement dans la pierre. La baisse des prix, amorcée dès 2022, a joué un rôle clé dans le dynamisme retrouvé du marché. En deux ans, les prix ont reculé de manière significative, particulièrement pour les maisons, où la diminution a atteint plus de 5 %.
Les professionnels du secteur, notamment le réseau Century 21 interrogé par MySweetImmo, attribuent ce redressement à plusieurs facteurs économiques favorables. Les baisses successives des taux d’intérêt, atteignant une moyenne de 3 à 3,5 %, ont permis de redonner du souffle au pouvoir d’achat des ménages.
Malgré un contexte économique et politique parfois instable, les Français continuent de privilégier l’investissement dans la pierre. La baisse des prix, amorcée dès 2022, a joué un rôle clé dans le dynamisme retrouvé du marché. En deux ans, les prix ont reculé de manière significative, particulièrement pour les maisons, où la diminution a atteint plus de 5 %.
Des disparités régionales toujours marquées
Si le marché affiche des signes encourageants au niveau national, les réalités locales restent contrastées. Certaines régions, notamment en Île-de-France et en Nouvelle-Aquitaine, ont bénéficié d’un net regain d’activité, avec des volumes de vente en hausse. D’autres, comme la Bretagne ou les Pays de la Loire, continuent de subir un ralentissement, bien que celui-ci semble s’atténuer.
Ces disparités s’expliquent par des ajustements de prix différenciés selon les territoires. À Paris, par exemple, la baisse cumulée depuis 2022 dépasse les 10 %, ce qui a permis une légère reprise des transactions. À l’inverse, des zones comme les Hauts-de-Seine ou certaines régions rurales enregistrent des stabilisations plus rapides, voire des hausses légères des prix.
En 2025, le marché immobilier pourrait atteindre un niveau proche des 850 000 transactions, marquant un retour à des volumes similaires à ceux observés avant la crise. Cette prévision repose sur une conjoncture économique favorable, avec des taux d’intérêt stables et une inflation maîtrisée. Les professionnels s’attendent à une poursuite de la stabilisation des prix, après deux années de corrections importantes.
Toutefois, des interrogations subsistent. La baisse continue de l’investissement locatif, qui représente désormais moins de 26 % des transactions, pourrait peser sur le marché à moyen terme. En revanche, la demande pour les résidences principales reste solide, soutenue par des conditions de financement encore accessibles.
Ces disparités s’expliquent par des ajustements de prix différenciés selon les territoires. À Paris, par exemple, la baisse cumulée depuis 2022 dépasse les 10 %, ce qui a permis une légère reprise des transactions. À l’inverse, des zones comme les Hauts-de-Seine ou certaines régions rurales enregistrent des stabilisations plus rapides, voire des hausses légères des prix.
En 2025, le marché immobilier pourrait atteindre un niveau proche des 850 000 transactions, marquant un retour à des volumes similaires à ceux observés avant la crise. Cette prévision repose sur une conjoncture économique favorable, avec des taux d’intérêt stables et une inflation maîtrisée. Les professionnels s’attendent à une poursuite de la stabilisation des prix, après deux années de corrections importantes.
Toutefois, des interrogations subsistent. La baisse continue de l’investissement locatif, qui représente désormais moins de 26 % des transactions, pourrait peser sur le marché à moyen terme. En revanche, la demande pour les résidences principales reste solide, soutenue par des conditions de financement encore accessibles.
