Le président de la République a tout d'abord voulu faire un geste pour les "gens très modestes" qui ont des difficultés pour payer le chauffage. "Pour se chauffer, quand ils ne peuvent pas changer de chaudière, qu’ils n’ont pas d’autres options, il faut qu’on regarde comment améliorer le chèque énergie". Emmanuel Macron n'a pas donné plus de précision sur le sujet. Il a toutefois qu'il comprenait les difficultés qui sont celles de ces ménages qui sont dans une situation où leur pouvoir d'achat ne permet pas de se "chauffer dignement" alors que l'hiver approche.
Le locataire de l'Élysée a également voulu répondre à la colère des automobilistes durement touchés par la hausse des prix à la pompe. Pas question de baisse des taxes, car "on doit davantage taxer ce qui pollue". Mais le chef de l'État veut généraliser un dispositif en vigueur dans les Hauts-de-France, qui consiste en un versement de 20 euros par mois pour ceux qui doivent utiliser leur voiture afin de se rendre à un travail situé à plus de 30 kilomètres de chez eux. "Il faut qu’on soit dans un mode d’indemnités kilométriques. Il faut travailler avec les collectivités locales, les employeurs, intelligemment pour aider ces gens-là", a expliqué Emmanuel Macron.
Ces annonces seront-elles de nature à rasséréner des Français prêts à manifester le 17 novembre ? Rien n'est moins sûr. Le président de la République met en garde contre un mouvement "agrège beaucoup de choses qui n’ont rien à voir, toutes les formes de démagogie". Il veut aider les personnes en situation légitime de désarroi, mais il est méfiant concernant les "grands appels à mobilisation pour tout bloquer".
Le locataire de l'Élysée a également voulu répondre à la colère des automobilistes durement touchés par la hausse des prix à la pompe. Pas question de baisse des taxes, car "on doit davantage taxer ce qui pollue". Mais le chef de l'État veut généraliser un dispositif en vigueur dans les Hauts-de-France, qui consiste en un versement de 20 euros par mois pour ceux qui doivent utiliser leur voiture afin de se rendre à un travail situé à plus de 30 kilomètres de chez eux. "Il faut qu’on soit dans un mode d’indemnités kilométriques. Il faut travailler avec les collectivités locales, les employeurs, intelligemment pour aider ces gens-là", a expliqué Emmanuel Macron.
Ces annonces seront-elles de nature à rasséréner des Français prêts à manifester le 17 novembre ? Rien n'est moins sûr. Le président de la République met en garde contre un mouvement "agrège beaucoup de choses qui n’ont rien à voir, toutes les formes de démagogie". Il veut aider les personnes en situation légitime de désarroi, mais il est méfiant concernant les "grands appels à mobilisation pour tout bloquer".
