Du 7 au 10 janvier prochain, se tient le salon Consumer Electronic Show, un évènement immanquable pour les fans de technologie. Ce sera aussi sans doute l'occasion pour Google et Audi de signer leur partenariat autour de la voiture connectée. Les deux groupes sont en effet en train de concevoir une voiture équipée du logiciel Android.
Ce salon sera également l'occasion pour Audi et Google de présenter une multitude de collaborations possibles avec des entreprises dans les secteurs de l'automobile et des nouvelles technologies. L'idée est bien entendu de transposer les services accessibles depuis les terminaux équipés d'Android, vers des voitures. In fine, Google veut rassembler un maximum de constructeurs autour d'Android pour en faire un élément incontournable de la voiture connectée de demain.
En matière d'automobile, Google n'en est pas à son coup d'essai. Le géant américain est actuellement en train de concevoir une voiture présentée en 2010, totalement automatique et pouvant se déplacer sans conducteur. Ces véhicules devraient voir le jour d'ici 5 ans.
Mais ce partenariat entre Audi et Google est certainement la meilleure réponse que le moteur de recherche pouvait apporter à Apple qui développe de son côté des partenariats avec des constructeurs automobiles tels que Nissan, Mercedes, et Honda, en concevant un système d'exploitation iOS adapté aux véhicules grâce auquel les conducteurs pourront retrouver des fonctionnalités présentes sur leur iPhone tels que le lecteur MP3 ou encore la messagerie.
Le patron de Free en profite pour revenir sur les nombreuses attaques survenues contre lui depuis l'annonce, sur Twitter, des tarifs 4G de Free, qui battent de très loin ceux proposés par ses concurrents.
Arnaud Montebourg tout d'abord. Le premier à avoir réagi à l'annonce de Xavier Niel. "Il se fait abuser par les trois autres acteurs du marché. Les trois opérateurs historiques ont payé 3,9 milliards d'euros de dividendes en 2013. On dit que Bouygues Télécom va mal mais Bouygues a versé 500 millions d'euros de dividendes. Chez Free, c'était 21 millions" déclare notamment le patron de Free dans les colonnes du Journal du Dimanche.
Autre point développé par Xavier Niel, "les gens qui nous critiquent n'ont pas de problème à payer ou se faire offrir par leur entreprise un forfait à 100 euros par moi. Free s'adresse aux 99 % des Français qui gagnent moins de 3 000 euros et pour qui chaque euro compte". Voici qui est envoyé.
Xavier Niel en profite également pour se jeter quelques fleurs. "Personne n'est malheureux dans les télécoms. Les opérateurs dégagent entre 20 et 40 % de marge ! Le secteur a investi 9 milliards d'euros en 2012, du jamais-vu. Croyez-vous qu'on aurait la 4G aujourd'hui sans Free ? Sûrement pas. La concurrence pousse à investir et à innover pour se différencier." ajoute le patron de Free.
Enfin, le patron d'Iliad, la maison mère de Free, profite de cette interview pour remettre en place Stéphane Richard, le patron d'Orange, qui avait notamment déclaré que la 4G de Free, "c'est du vent". "Stéphane Richard est encore jeune dans le métier. La 4G, c'est du haut débit sur le mobile. Pour avoir cette vitesse de téléchargement au-dessus de 80 mégabits, Free a 700 antennes, contre 530 pour Bouygues Télécom. Pour SFR c'est 724."